Préserver la ressource en eau, restaurer les continuités écologiques et protéger les sols vivants ne relèvent plus d’initiatives isolées. Ces exigences deviennent structurantes pour la qualité de vie, la santé publique et la résilience des territoires. À travers la certification Effinature, IRICE propose un cadre opérationnel et reconnu pour intégrer ces enjeux dans les projets urbains et d’aménagement.

Alors que le rapport ONCV sur le cadre de vie rappelle l’urgence d’un urbanisme plus résilient, les stratégies territoriales convergent vers un principe de plus en plus central : remettre la nature dans le temps long de l’aménagement. C’est précisément l’ambition portée par Nature 2050.

À l’occasion de la Journée mondiale de l’eau, IRICE réaffirme l’importance de fonder la qualité des projets immobiliers sur une gestion environnementale rigoureuse de la ressource. Plus qu’une exigence réglementaire, l’eau devient un indicateur stratégique de robustesse pour les maîtrises d’ouvrage engagées.

L’édition 2024 du rapport de l’Observatoire National du Cadre de Vie (ONCV) propose une analyse fine des attentes des Français en matière d’environnement quotidien. Un enseignement majeur en ressort : la nature n’est plus perçue comme un supplément d’âme, mais comme une composante centrale du bien-être, de l’attractivité territoriale, et de la résilience. Voici les points clés à retenir, en lien direct avec les problématiques traitées par IRICE et le référentiel Effinature.

Au premier trimestre 2024, IRICE a publié une série d’articles de fond sur un sujet central mais souvent mal outillé : comment intégrer la biodiversité dans les projets immobiliers de manière structurée, crédible et utile.Ce cycle de publications visait à clarifier des points souvent flous dans les opérations : rôle des référentiels, attentes territoriales, place de l’indépendance, traçabilité écologique. Voici un résumé des 4 articles publiés — à lire ou relire selon vos enjeux.

Dans un contexte réglementaire dense et mouvant, les référentiels techniques sont nombreux. Mais la prolifération de guides, de grilles et de labels rend parfois leur rôle confus. Un référentiel biodiversité ne vaut que s’il sert le projet. C’est-à-dire s’il aide à :arbitrer concrètement, justifier des choix, sécuriser les relations entre parties prenantes. Cet article revient sur les trois valeurs opérationnelles que doit offrir un bon référentiel biodiversité — et sur la manière dont Effinature répond à ces exigences.