La biodiversité comme levier de projet

Comprendre, structurer, agir. IRICE publie ici une série de contenus courts, conçus pour aider les décideurs à intégrer la biodiversité dans les projets immobiliers de manière lisible, mesurable et opérationnelle. À destination des collectivités, des maîtres d’ouvrage, des aménageurs et des investisseurs, ces articles abordent les points de friction récurrents, les outils existants, et les leviers concrets pour faire de la biodiversité un atout de projet, pas une contrainte formelle. ➤ Tous les contenus sont rédigés par l’équipe IRICE à partir de cas réels, de retours de terrain et d’expériences partagées.
Vendredi, Mai 23, 2025
Alors que les marchés de crédits biodiversité cherchent à s’organiser autour de principes communs, le White Paper publié en mai 2025 par le World Economic Forum fixe un socle ambitieux : 21 High-Level Principles (HLP) pour garantir la qualité, l’intégrité et la légitimité de ces instruments. Mais qui aujourd’hui est en capacité de les mettre en œuvre, concrètement ? La certification Effinature, opérée par IRICE, y répond déjà. Elle les anticipe. Et souvent, elle les dépasse.
Décarboner n’est pas certifier : pourquoi la preuve écologique devient incontournable
Vendredi, Mai 16, 2025
Les offres techniques d’accompagnement à la décarbonation se multiplient. Regroupant ingénierie, financement, travaux et maintenance, elles ambitionnent de simplifier la transformation énergétique des industries, collectivités et grands projets.Mais derrière cette intégration croissante, une question clé reste absente : qui vérifie l’impact réel des choix opérés sur les écosystèmes ?Chez IRICE, notre réponse est claire : il n’y a pas de durabilité sans méthode. Il n’y a pas de méthode sans preuve. Et il n’y a pas de preuve sans tiers indépendant.
Directive européenne sur la surveillance des sols : un socle politique encore sans bras opérationnels
Mercredi, Mai 14, 2025
Entre 60 % et 70 % des sols de l’Union européenne sont aujourd’hui en mauvaise santé. Le 10 avril 2025, la Commission européenne, le Parlement et le Conseil ont conclu un accord provisoire sur la directive européenne sur la résilience et la surveillance des sols. Ce texte constitue un tournant réglementaire : pour la première fois, les sols européens deviennent l’objet d’un cadre juridique commun. Mais ce tournant reste théorique : le texte propose des objectifs sans contrainte, des outils sans méthode, des obligations sans vérifiabilité.Chez IRICE, nous affirmons une position simple : il n’y aura pas de politique des sols sans preuve d’efficacité écologique. Et il n’y aura pas de preuve sans méthode reproductible, vérifiable, transposable.
Crédits biodiversité : entre promesses et incertitudes, une nécessité s’impose : mesurer d’abord
Mercredi, Mai 14, 2025
Le rapport du World Economic Forum publié fin 2023 est sans ambiguïté :les crédits biodiversité pourraient devenir un levier structurant de la finance environnementale. Mais aujourd’hui, le marché reste embryonnaire, exposé à de fortes critiques méthodologiques, et en attente de standards crédibles. Alors que les acteurs publics et privés s’interrogent sur la place qu’ils doivent prendre, une évidence s’impose : aucun crédit ne peut exister sans une méthode fiable de mesure, de vérification et de gouvernance. C’est précisément ce que propose IRICE avec le Biodiversity Performance Score (BPS) et la certification Effinature.
Indicateurs, pactes, auto-évaluations : et s’il manquait la preuve ?
Mercredi, Mai 14, 2025
Les initiatives locales se multiplient pour intégrer la biodiversité dans l’aménagement urbain : règles 3-30-300, pactes municipaux, plateformes de suivi. Ces outils ont un mérite : ils rendent visible une volonté collective. Mais à mesure que la pression réglementaire s’intensifie, une question émerge : Comment passer de l’engagement à la preuve ?
Végétaliser ne suffit pas : pourquoi mesurer devient une exigence
Lundi, Mai 12, 2025
La nature en ville est devenue une évidence partagée. Mais alors que les collectivités multiplient les engagements, les retours d’expérience et les projets pilotes, une question centrale demeure : quelles méthodes permettent de garantir la performance écologique réelle d’un projet urbain, au-delà des intentions ? Dans un contexte où la biodiversité urbaine devient un critère d’évaluation ESG, la simple plantation ne suffit plus. Ce que les discours stabilisent, seule la certification opposable peut démontrer.
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