Pourquoi la biodiversité est devenue un critère ESG structurant ?

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BIODIVERSITÉ & ESG

La biodiversité, nouveau pilier des stratégies ESG immobilières.

La biodiversité est aujourd’hui un critère ESG incontournable pour les acteurs de l’immobilier. Les nouvelles réglementations européennes (taxonomie verte, SFDR, article 29 LEC) imposent d’évaluer les impacts environnementaux réels des investissements. IRICE accompagne cette mutation en intégrant la biodiversité dans la gouvernance, la stratégie et le reporting des entreprises. Cette approche permet aux maîtres d’ouvrage, investisseurs et foncières d’anticiper les risques systémiques liés à l’érosion du vivant et de valoriser leurs portefeuilles selon des indicateurs scientifiques reconnus.
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La biodiversité, enjeu majeur de la finance responsable

Les critères ESG (Environnement, Social, Gouvernance) se sont traditionnellement concentrés sur le climat et l’énergie. Toutefois, la communauté scientifique a rapidement fait émerger une réalité incontournable :
➡️ La perte de biodiversité constitue un défi majeur pour les équilibres économiques, sociaux et sanitaires, comme le soulignent divers rapports scientifiques.
➡️ De plus en plus, les investisseurs, les assureurs et les régulateurs reconnaissent la biodiversité comme un indicateur clé de résilience.
Irice | Grow the future

Biodiversité et taxonomie verte européenne

La taxonomie verte européenne définit les activités économiques considérées comme durables au regard des objectifs environnementaux de l’Union européenne. Parmi ces six objectifs, la protection et la restauration de la biodiversité figurent désormais comme un critère central d’éligibilité. 

Pour être reconnue comme « durable », une opération immobilière doit démontrer sa contribution positive au vivant, sans causer de dommage significatif aux écosystèmes. Cela suppose des indicateurs précis : continuités écologiques, limitation des pressions, gestion des eaux, matériaux, ou trame verte et bleue. 

Les référentiels certifiés par un organisme indépendant, comme Effinature délivré par IRICE, permettent de prouver cette conformité. En alignant la mesure de la performance écologique sur les cadres ISO (17620, 17298) et la taxonomie verte, ils traduisent les objectifs européens en preuves opérationnelles sur le terrain. 

La biodiversité devient ainsi un levier d’accès à la finance durable : un projet conforme à la taxonomie bénéficie d’une reconnaissance accrue auprès des investisseurs et institutions financières engagés dans la transition écologique.

Reporting ESG : Article 29 et SFDR

L’article 29 et la SFDR imposent aux acteurs financiers de publier des données environnementales fiables, dont la biodiversité. Ces textes relient finance durable et preuve écologique : pour être conformes, les projets doivent démontrer leur impact réel. La certification Effinature (IRICE) fournit cette traçabilité mesurable, alignée sur la taxonomie verte européenne.

Investisseurs et immobilier durable : nouveaux indicateurs

Les investisseurs exigent désormais des indicateurs de performance écologique aussi précis que ceux du carbone.
La biodiversité devient un critère financier à part entière, intégré aux reporting ESG et à la taxonomie verte. Les référentiels certifiés comme Effinature (IRICE) traduisent cette exigence en preuves mesurables, permettant aux acteurs immobiliers de démontrer leur contribution réelle au vivant et d’accéder à la finance durable.
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Un actif immatériel… devenu mesurable

Longtemps perçue comme difficile à quantifier, la biodiversité devient aujourd’hui un indicateur incontournable :
  • Un actif immatériel stratégique,
  • Un facteur de différenciation et de risque dans les projets,
  • Un signal ESG attendu dans les rapports extra-financiers.
IRICE répond à cette attente avec une approche rigoureuse, fondée sur des indicateurs opposables, et soutenue par un cadre validé par des experts indépendants.
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Ce que les fonds attendent aujourd’hui

Les fonds durables, ISR et institutionnels cherchent désormais à :
  • Justifier leurs engagements environnementaux sur des bases vérifiables,
  • Éviter les allégations environnementales non vérifiées (greenwashing),
  • Montrer que leurs investissements contribuent réellement à la transition écologique.
C’est pourquoi les maîtres d’ouvrage s’appuient sur des certifications délivrées par des organismes tiers accrédités.

Certification ou label ? Comprendre la différence

Dans un contexte de régulation croissante (SFDR, taxonomie verte européenne, exigences AMF…), les investisseurs doivent distinguer :
Certification délivrée sous accréditation Label volontaire
Reposant sur l’ISO 17065 Non encadré par une norme internationale
Vérifiée par un tiers indépendant Souvent déclaratif
Reconnaissance institutionnelle Reconnaissance sectorielle ou commerciale
Obligatoire pour certains dispositifs Utilisable uniquement à titre d’indication

Pourquoi les investisseurs choisissent Effinature ?

Parce qu’elle est délivrée par IRICE, organisme accrédité par le Cofrac (Accréditation pour la certification de produits, procédés et services, n° 5-0655, portée disponible sur www.cofrac.fr),
Parce qu’elle est reconnue par les institutions publiques,
Parce qu’elle est conçue pour répondre aux critères de la taxonomie verte et des réglementations françaises (AMF).

Une certification qui renforce la sécurité et la crédibilité de l’investissement

Effinature offre une approche rigoureuse pour éviter les allégations non vérifiées (greenwashing),
Elle renforce la crédibilité des actifs dans un marché exigeant,
Elle améliore la visibilité des projets sur les critères extra-financiers.
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