Alors que la biodiversité s’impose dans les critères extra-financiers de nombreux groupes immobiliers, une faille discrète mais lourde de conséquences apparaît dans certaines chaînes de décision. Certains projets, pourtant présentés comme engagés, deviennent inéligibles aux attentes des investisseurs durables, des fonds article 9 ou des audits de conformité SFDR. Pourquoi ? Parce qu’au moment de choisir la méthode d’évaluation ou de certification biodiversité, le bon réflexe n’a pas été pris. Et cette décision technique apparemment secondaire peut suffire à faire sortir l’opération du périmètre ESG consolidable.

Alors que de nombreuses offres intégrées promettent la décarbonation, une question demeure : qui vérifie l’impact environnemental réel de ces transformations ? IRICE propose une réponse fondée sur la preuve.

Alors que les acteurs publics et privés multiplient les engagements climat et biodiversité (PACB, SRB, SNB, Europe 2030), l’absence de preuve reste le point aveugle de la transition écologique. IRICE propose une solution : mesurer, certifier, démontrer.

Face à la multiplication des labels, référentiels et discours sur la biodiversité, IRICE rappelle une distinction simple : il n’y a pas d’évaluation sans méthode, pas de certification sans cadre, pas de légitimité sans habilitation. Ce texte revient sur les principes qui fondent l’exigence Effinature et BPS, et sur le rôle structurant des Biodiversity Partners.

Comprendre ce que couvre réellement la méthode Ville Arborée, ce qu’elle laisse de côté, et comment la certification Effinature peut en garantir l’ancrage écologique.

Atteindre le zéro artificialisation nette (ZAN) impose de repenser la renaturation au-delà des surfaces. Comment garantir l’efficacité écologique réelle des projets ? Éléments de méthode.